Hervé MARITON présent à l’audience ce mercredi 22 juin à 9h

Touche pas a mon Heetch !

Hervé MARITON apporte son soutien à la start-up française Heetch, et sera présent à ses côtés, le 22 juin à 9 heures au tribunal correctionnel de Paris.

Heetch est poursuivie pour “organisation illicite de mise en relation avec des chauffeurs amateurs et de complicité d’exercice illégal de la profession de taxi”.

“C’est le procès de la French Tech que l’on instruit aujourd’hui, déclare Hervé MARITON. Ce protectionnisme est en totale contradiction avec les valeurs libérales que je défends. Je dénonce l’abandon de la jeunesse et de l’esprit d’entreprise. J’ai déjà reçu les représentants de Heetch le 29 octobre dernier et je serai présent ce 22 juin pour les soutenir.”

Heetch est un véritable succès. Ce service, plébiscité par la jeunesse française, permet de se déplacer pour un tarif très abordable, en particulier à l’issue de soirées festives, évitant ainsi des pratiques dangereuses et tragiques de conduite en état d’ivresse.

Cette application permet, par ailleurs, d’apporter un complément de revenu à près de 10 000 personnes, souvent faiblement qualifiées et désireuses de travailler.

“Heetch est le symbole d’une jeunesse qui innove, qui travaille pour s’en sortir et qui a de l’ambition, poursuit Hervé MARITON. En tant que Président à l’Assemblée nationale du Groupe d’Etudes sur la Sécurité routière, je suis également sensible à cette question. Si Heetch permet de sauver des vies, cette start-up doit être encouragée.”

Par son positionnement spécifique et le plafonnement des revenus des chauffeurs, Heetch n’entretient pas de concurrence déloyale vis-à-vis des taxis ou des VTC. Elle répond, au contraire, à un besoin non satisfait, ainsi : elle comble une faille de marché. Elle permet de satisfaire une clientèle spécifique. Et elle réduit les risques d’accident de la route, tout en apportant un complément de revenu appréciable à des jeunes motivés et travailleurs.

“Nous devons nous approprier les nouvelles technologies, les applications et l’économie collaborative, l’économie du partage, conclut Hervé MARITON. Nous avons un devoir et une responsabilité à l’égard de notre pays, qui est de préparer l’avenir, et l’avenir passe par un soutien à notre jeunesse et à nos entreprises audacieuses et innovantes.

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